Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


Interview de bachar el assad par le journal Argentin Clarin le 18/05/2013

Publié par The Algerian Speaker sur 19 Mai 2013, 13:03pm

Catégories : #EJDID

Bachar al-Assad a donné un entretien au journal argentin Clarin. Le journal l’a intitulé:
"Yo no renuncio. El pueblo dirá quién se queda o quién se debe ir, no EE.UU."
"Je ne renoncerai pas . C’est au peuple (syrien, ndrl) de dire qui devrait rester ou partir, et non les Américains."
Le président syrien était interviewé par le chef de la section monde du journal Clarin, Marcelo Cantelmi.
 
Des vérités assénées avec justesse, au moment où certains veulent se substituer au peuple syrien et décider à leur place. Et dire qu’ils aiment bien parler de leur souveraineté ou encore de la non-ingérence dans leurs affaires. Mais là, ils truquent avec leurs propres principes. Finalement, dans la vidéo, c’est un homme courageux, prêt au combat, vif, qui n’a pas peur des destructeurs.
Petit track-back:
«Je ne sais pas si Kerry ou les autres ont reçu un pouvoir du peuple syrien pour parler en son nom, à savoir, qui devrait partir et qui devrait rester. Cela sera déterminé par le peuple syrien lors des élections présidentielles de 2014."
Interrogé pour savoir si ces élections se dérouleront dans un climat de totale liberté médiatique permettant une couverture avec des observateurs internationaux, il a répondu:
"La présence d’observateurs est une décision nationale. Une partie de la population ne peut pas tolérer l’idée d’observateurs extérieurs basée sur le concept de la souveraineté nationale. Les Syriens n’ont également pas confiance à l’Occident. Au cas où il y a des observateurs, ils doivent provenir de pays amis comme la Chine ou la Russie."
Sur la liberté de la presse, le président Bachar al-Assad a déclaré:
"Il y aura un nouvel amendement à la Constitution après celui qui a été fait en 2011. On ne peut pas parler de liberté de la presse sans liberté politique en général, parce qu’elles sont intimement liées»
Sur le terrorisme:
«Soyons clairs … il y a confusion dans le monde entre la politique et la solution au terrorisme. Ils estiment qu’une conférence politique peut arrêter le terrorisme sur le terrain. C’est irréaliste."
Sur les armes chimiques et les accusations:
"Ces déclarations de nos ennemis relatives aux armes chimiques changent tous les jours. Les armes chimiques sont des armes de destruction massive. Ils disent que nous les avons utilisé dans des zones résidentielles. Si je vous dis qu’une bombe nucléaire a été larguée sur la banlieue et qu’au nombre des victimes il y en a dix ou vingt personnes, vous allez me croire ? L ‘utilisation des armes chimiques dans les zones résidentielles signifie des milliers ou des dizaines de milliers de personnes tuées en quelques minutes. Qui pourrait cacher une telle chose ? "
Du bon, du très bon mais, pourquoi la presse occidentale ne veut-elle pas interviewer Bachar al-Assad ? Cherchez l’erreur !Tiens, cette réponse sur les armes chimiques, je n’y pensais pas. Je comprends enfin pourquoi les américains disent maintenant en petite dose. En revanche, les terroristes, eux, ont utilisé des produits chimiques contre des civils. C’est acté. Le reste n’est que désinformation côté occidental. Le président Bachar al-Assad a bien raison de se méfier des spécialistes de la fraude, la falsification et rois de la propagande…
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